« Franchissant les nombreuses crises traversées par cette forme hybride qu’est le cinéma, notamment la pandémie de 2020 qui a accéléré sa dernière mutation profonde, cet ouvrage permet de penser ses renaissances multiples comme relevant de son ADN. »
— Giusy Pisano, professeure des universités, ENS Louis-Lumière
« Le cinéma n’en finit pas de finir. Gaudreault et Marion développent brillamment ce paradoxe : le cinéma résiste à la limite où se dessine l’abolition redoutable de l’objet primitif du désir cinéphilique. »
— Dominique Chateau, professeur émérite d'esthétique, de philosophie de l'art
et d'études cinématographiques, Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne
« Se si vuol capire come e perché siamo stregati dagli schermi dei telefonini, siamo incatenati alle serie delle piattaforme, le installazioni video ci appassionano – è in questo libro che il lettore troverà la chiave. »
— Leonardo Quaresima, Professore Senior, Università degli Studi di Udine
« Revêtus de la robe et du bonnet de l’historien, du médiologue, de l’esthéticien et du voyant, les auteurs auscultent le cinéma : tient-il le choc du numérique ? Puisque la signification du passé du média est étroitement dépendante de son projet présent, le diagnostic laisse entrevoir que, de crise en crise, le cinéma devient ce qu’il veut être. »
— François Albera, professeur honoraire d'histoire et esthétique du cinéma, Université de Lausanne
« Avoiding all dogma, the authors refresh our thinking about cinema as well as invite us to approach the variety of moving image experiences from theater to home, from feature film to special events, with openness and a renewed sense of cultural possibility. »
— Dana Polan, Martin Scorsese Professor of Cinema Studies, New York University
« Gaudreault et Marion poursuivent sur un temps long leur observation des images (vidéo)cinématographiques : ils nous aident non seulement à reconnaître le cinéma là où les repères se brouillent, mais ils nous donnent aussi des pistes pour penser le numérique à la lumière du cinéma. »
— Viva Paci, professeure à l’École des médias, Université du Québec à Montréal
Projet réalisé à l'Université de Montréal dans le cadre de la Chaire de recherche du Canada en études cinématographiques et médiatiques et du GRAFIM (Groupe de recherche sur l’avènement et la formation des identités médiatiques).