Santiago Hidalgo est professeur adjoint sous octroi au Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal. Il est le directeur du Labo CinéMédias (depuis 2018) et codirecteur du partenariat du projet cinEXmedia, « Contribuer au bien-être à l’ère des écrans », portant sur les enjeux sociétaux, pédagogiques et thérapeutiques de l’expérience cinématographique dans une perspective inclusive (2022-2029). En 2019, Hidalgo a cofondé la collection Cinema and technology aux Presses de l'Université d'Amsterdam ainsi que Cinéma et technologie aux Presses de l'Université en 2021. Il codirige toujours ces deux collections. Il est actuellement chercheur au Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal et au Centre d'études avancées en médecine du sommeil et co-responsable de la formation en médias inclusifs au PRAXIS Centre de développement professionnel.
Historien reconnu du cinéma des premiers temps et pionnier de la narratologie filmique, André Gaudreault s’intéresse tout particulièrement, dans le cadre de ses recherches actuelles, à l’avènement du montage, au phénomène de la retransmission d’opéras en salles de cinéma, aux innovations technologiques envisagées dans une perspective « archéologique » et à l’impact du numérique sur l’univers médiatique. Il est l’un des cinq fondateurs de l’Association internationale pour le développement de la recherche sur le cinéma des premiers temps (Domitor), qu’il a dirigée, à titre de premier président élu, de 1985 à 1994. Il a fondé en 1992, et dirige depuis lors, le Groupe de recherche sur l’avènement et la formation des institutions cinématographique et scénique (GRAFICS); il a aussi assumé, de 1997 à 2005, la direction d’une autre infrastructure interdisciplinaire et interuniversitaire de recherche basée à l’Université de Montréal, le Centre de recherche sur l’intermédialité (CRI), dont il est l’un des quatre fondateurs. Il a créé en 2010, à l’Université de Montréal, avec le réalisateur et producteur Denis Héroux, l’Observatoire du cinéma au Québec (OCQ), un carrefour universitaire unique en son genre qui vise à encourager les échanges entre praticiens et théoriciens du cinéma. Il est également l’un des fondateurs et le directeur du Partenariat international de recherche sur les techniques et technologies du cinéma (TECHNÈS), qui réunit depuis 2012 dix-huit partenaires et quarante-cinq chercheurs de différents pays qui se sont donné pour objectif de réintégrer la dimension technique dans la réflexion scientifique sur le cinéma, afin de mieux comprendre les mutations technologiques et leurs interactions avec la théorie, l’esthétique et la pratique du cinéma. En 2016, il a fondé le Laboratoire CinéMédias, une infrastructure rattachée à la Chaire de recherche du Canada en études cinématographiques et médiatiques qui englobe, outre TECHNÈS, le GRAFICS et l’OCQ, le Programme de recherche sur l’archéologie et la généalogie du montage/editing (PRAGM/e).
Professionnel de recherche et chargé de cours à l’Université de Montréal, Thomas Carrier-Lafleur est directeur adjoint et coordonnateur de la recherche du Laboratoire CinéMédias. Dans une perspective intermédiale qui s’intéresse aux processus de transposition écranique des textes littéraires, ses recherches portent sur la littérature française et québécoise ainsi que sur le cinéma québécois. Il est notamment l’auteur de Voir disparaître. Une lecture du cinéma de Sébastien Pilote (L’instant même, 2021), Projections croisées. Dialogues sur la littérature, le cinéma et la création avec Andrée A. Michaud et Simon Dumas (Figura, 2021), Impression, projection. Une histoire médiatique entre cinéma et journalisme (PUL, 2019 ; avec Richard Bégin et Mélodie Simard-Houde) et Il s’est écarté. Enquête sur la mort de François Paradis (Nota bene, 2019 ; avec David Bélanger — Prix Jean-Éthier-Blais 2020). Il est également codirecteur de Nouvelles vues. Revue sur les pratiques, les théories et l’histoire du cinéma au Québec.
Professionnel de recherche et coordonnateur scientifique dans le cadre du partenariat international de recherche TECHNÈS, Rémy Besson a soutenu un doctorat à l’EHESS (Paris), portant sur la mise en récit du film Shoah de Claude Lanzmann (C. Delage dir.). Il a été stagiaire postdoctoral du Centre de Recherches Intermédiales sur les arts, lettres et techniques (CRIalt, Montréal, 2012-14) où il a assuré la coordination scientifique du projet international Archiver à l’époque du numérique, puis au LLA-CREATIS (Toulouse II, 2014-15) où il a poursuivi ses travaux sur l’intermédialité. Spécialiste reconnu des rapports entre histoire, sciences humaines, culture numérique et cinéma, il est également chargé de cours. La liste de ses publications est accessible en ligne : http://remybesson.blogspot.ca/
Bio à venir
Après une maîtrise de cinéma en recherche-création sous la direction d’Olivier Asselin, Tara Karmous devient agente à la coordination de la Chaire de recherche en études cinématographiques et médiatiques. Ses études se concentraient sur l’usage de la géolocalisation et de la réalité augmentée dans une perspective activiste. Dans le cadre du Lab_Artenso, elle poursuit sa réflexion avec la création d’un prototype intitulé La Fin des paillassons un projet de réalité augmentée invitant à réviser le discours patriarcal en histoire de l’art. Depuis 2021, Tara est également auxiliaire de recherche sur le projet OpéRA de Poche dont l’objectif est de créer des opéras pour la réalité augmentée et la réalité virtuelle pour documenter le processus de recherche-création.
Marnie Mariscalchi est responsable des publications du Laboratoire CinéMédias. Elle est également éditrice de la revue d’études cinématographiques Cinémas, dont elle a rejoint l’équipe en 2007. Elle a collaboré à plusieurs projets de recherche, principalement dans le cadre des travaux du GRAFICS, à titre d’auxiliaire de recherche, d’assistante éditoriale et d’adjointe à la coordination. Elle a étudié le cinéma et l’histoire de l’art à l'Université de Montréal.
Diplômée d’un baccalauréat en littérature et en cinéma avec mention d’excellence, Lune Wagner occupe aujourd’hui le poste de coordonnatrice pour le partenariat cinEXmedia. Elle a effectué une formation en communication anglophone à McGill et a travaillé à plusieurs reprises dans le milieu de la rédaction ainsi que celui de l’édition. Elle s’intéresse aux arts, au féminisme, et donne des cours particuliers de français à ses heures perdues.
Au sein du Laboratoire CinéMédias, Anne Lévesque s’occupe principalement de la conception et de la mise à jour des différents sites web reliés aux différents projets et partenariats de recherche.
Thomas Rapenne est étudiant en maîtrise d'études cinématographiques à l’Université de Montréal depuis septembre 2018 sous la direction d’André Gaudreault. Ses recherches et ses créations se concentrent sur les images d’interfaces graphiques (principalement d'ordinateur et de smartphone) au cinéma. Il travaille comme chargé de post-production auprès du partenariat TECHNÈS et détient un baccalauréat en Arts du spectacle parcours Images obtenu à l’Université Lyon 2 (France).
Pierre Chemartin est chercheur, critique cinématographique et chargé de cours en études cinématographiques. Ses activités se concentrent sur la bande dessinée et le cinéma d'animation.
Diplômé en études cinématographiques (Université Concordia) et en sciences de l’information (Université de Montréal), Alex Delagrave a orienté son parcours vers l’archivistique audiovisuelle, avec un intérêt marqué pour les enjeux de diffusion. Au laboratoire, il est impliqué dans les projets de recherche ou de valorisation faisant appel à ses champs d'expertise : gestion de collections numériques, conception de structures de métadonnées, traitement et analyse documentaires, et édition numérique. Il participe notamment à la création de l'encyclopédie numérique TECHNÈS, travaille sur un projet d’annotation vidéo d’entretiens filmés et contribue à l'organisation de colloques virtuels. Il agit également comme programmateur, projectionniste et animateur d’ateliers de création auprès de plusieurs organismes et collectifs liés au cinéma.
Timothée Huerne a terminé un mémoire à l’Université de Montréal en 2017 sous la direction d’André Gaudreault sur le développement des projections dites hors-films dans les salles de cinéma. Il s’intéresse aujourd’hui particulièrement à l’hybridation des salles et des spectacles qu’elles accueillent. Il a d’abord été auxiliaire de recherche pour le GRAFICS de 2014 à 2018 avant de devenir coordinateur de présentation au laboratoire CinéMédias.
Titulaire d’un doctorat en communication de l’Université Concordia, Louis Pelletier est professionnel de recherche et chargé de cours à l'Université de Montréal, où il a par ailleurs complété un projet de recherche postdoctoral financé par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada sur les premières expériences de production de films de fiction au Québec. Il est également chercheur en résidence à la Cinémathèque québécoise, coordonnateur scientifique du Canadian Educational, Sponsored and Industrial Film Project de l’Université Concordia et codirecteur de Nouvelles vues. Il a publié sur le cinéma muet, le cinéma industriel, le cinéma amateur, l’exploitation cinématographique, l'histoire technique du cinéma et le cinéma d’avant-garde dans Film History, 1895, The Moving Image, The Journal of Film Preservation, la Revue canadienne d'études cinématographiques et Found Footage. Il complète présentement le manuscrit d'un ouvrage portant sur la distribution et l'exploitation cinématographique à Montréal entre les années 1912 et 1952.
Baptiste Creps est chercheur postdoctoral et chargé de cours à l’Université de Montréal. Il est spécialisé sur l’histoire des formes cinématographiques, hollywoodiennes en particulier, sur la musique de film et sur les notions de classicisme et de néoclassicisme à travers l’histoire de l’art. Ses recherches et publications portent également sur l’étude des technologies numériques, des médias et du jeu vidéo dans une perspective intermédiale. Il a enseigné auparavant à l’Université Gustave Eiffel, à l’Université Rennes 2 et à l’Institut Catholique de Paris.
Chercheuse postdoctorale (FRQSC, 2020-2022) au Laboratoire CinéMédias, Caroline Martin est chargée de cours en littérature et cinéma depuis plus de 15 ans. Elle est diplômée Maître ès arts en études littéraires (UQÀM) et Philosophiæ Doctor en éducation artistique (Université Concordia). En 2018, elle a été élue par les étudiants comme l’une des cinq enseignantes les plus inspirantes de l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche incluent l’éducation cinématographique et médiatique, la réception chez les jeunes publics et l’audiodescription. En collaboration avec l’ŒIL cinéma (Outil pour l'Éducation à l'Image et au Langage CINÉMAtographiques), elle mène une recherche à l’échelle provinciale auprès des enseignantes et enseignants du secondaire intégrant le cinéma dans leur cursus. Elle est actuellement représentante des chargées et chargés de cours du département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques (Université de Montréal) et fait partie du comité consultatif de la série de cours en Médias inclusifs de la Chang School of Continuing Education (Ryerson University).
Postdoctorante et chargée de cours au Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques (UdeM), Claudia Polledri est titulaire d’un doctorat en littérature comparée de l’Université de Montréal portant sur les représentations photographiques de Beyrouth (1982-2011) et sur le rapport entre photographie et histoire. Elle a été chercheuse invitée au LLA-CRÉATIS (2016) et a assuré la coordination scientifique du CRIalt (Centre des recherches intermédiales sur les arts, les lettres et les techniques) entre 2015 et 2018. Ses intérêts de recherche portent sur le cinéma et la photographie au Maghreb et au Moyen-Orient. Elle a été commissaire de l'exposition photographique Iran : poésies visuelles présentée dans le cadre des Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie (2019).
Monteur vidéo de formation, Robin Cauche a d’abord travaillé comme responsable de postproduction d’une chaîne de télévision musicale. Ses recherches portent sur l’histoire et l’esthétique des chansons illustrées. Il a étudié en particulier les Scopitones, puis les lyric videos. Professeur certifié de lettres modernes, il est également chargé de cours en lettres et en études cinématographiques. Depuis 2016, Robin Cauche est doctorant en Études cinématographiques et audiovisuelles sous la cotutelle de Martin Barnier (Université Lumière Lyon 2) et d’André Gaudreault (Université de Montréal). Sa thèse porte sur les « chansons lumineuses écrites », formes audiovisuelles affichant à l’écran les paroles des chansons qu’elles illustrent, des lanternes magiques à YouTube (XIXe – XXIe). « Chercheur associé à la Cinémathèque Française » (2016-2017), il a reçu en 2018 le prix de l’Essai Étudiant de l’association DOMITOR pour ses recherches sur les crises de l’industrie des illustrated songs aux États-Unis en 1907-1908.
Doctorant depuis 2018 au département d’études cinématographiques de l’Université de Montréal, Louis-Philippe Hamel prépare une thèse sur la spécificité stylistique de la science-fiction à l’ère de la normalisation des effets visuels numériques. Il est sous la direction de Richard Bégin, qui avait aussi dirigé son mémoire de maîtrise traitant de l’influence du concept du « cool » sur le genre du film de crime dans les années quatre-vingt-dix. Ses recherches actuelles portent donc sur le cinéma numérique, les effets visuels (et spéciaux) et la science-fiction—et sur leurs enjeux périphériques, qu’il explore notamment au sein de présentations comme celle sur la reconnaissance et l’organisation du travail dans le domaine des effets visuels qu’il a pu offrir en 2019 dans le cadre du colloque TECHNÈS « Gestes singuliers, gestes collectifs : histoire et cinéma en pratiques ».
Frédérique Khazoom a complété sa maîtrise à l’Université de Montréal dans le cadre du programme « International Master of Audiovisual and Cinema Studies », ce qui l’a mené à fréquenter des établissements renommés en Europe, tels l’Université Sorbonne Nouvelle Paris III (France) et l’Universiteit van Amsterdam (Pays-Bas). Elle s’intéresse à la manière dont les différentes sphères du paysage télévisuel contemporain s’adaptent aux changements provoqués par la convergence entre Internet et la télévision. Dans son projet doctoral, elle tente de comprendre comment les possibilités de la plateforme en ligne Netflix affectent la façon dont celle-ci s’adresse aux téléspectateurs et la manière dont ces derniers expérimentent la télévision en tant que membres d’un public désormais mondial. Elle collabore également avec le Labo Télé (Université de Montréal) dirigé par Marta Boni depuis 2018.
Simon Laperrière est doctorant en études cinématographiques sous la direction de Richard Bégin. Ses recherches actuelles portent sur les fan théories, la culture populaire et la surinterprétation. Il a codirigé avec Eric Falardeau le collectif Bleu nuit : Histoire d’une cinéphilie nocturne (Somme toute, 2014). En 2018, il publie Series of Dreams : Bob Dylan et le cinéma aux Éditions Rouge Profond. Collaborateur du projet audiovisuel Zoom Out, il a signé divers articles pour Hors champ, Spirale et 24 images et participe régulièrement à l’émission Plus on est fous, plus on lit (Ici Première). Avec Simon Lacroix, il codirige la série de projections excentriques Les nuits de la 4e dimension au Cinéma du Parc.
Alice Michaud-Lapointe est candidate au doctorat au département d’études cinématographiques de l’Université de Montréal et chargée de cours. Sa thèse porte sur les liens qui unissent la cinéphilie aux concepts de hantise et de mémoire dans le cinéma contemporain. Elle fait partie du comité de rédaction du magazine culturel Spirale, dans lequel elle a co-dirigé un dossier (« Le temps du rétro ») avec André Habib. Outre ses textes critiques parus chez Spirale, elle a publié dans les revues Liberté, Études Françaises, Found Footage Magazine, Nouvelles Vues et les plateformes Mise au point et Hors Champ. Elle est également autrice aux éditions Héliotrope, où elle a publié un recueil de nouvelles (Titre de transport, 2014), un roman (Villégiature, 2016) et un récit de voyage (Néons et sakuras, 2018). Elle est auxiliaire de recherche au GRAFIM depuis 2019.
Katia Andrea Morales Gaitan est doctorante en études cinématographiques et médiatiques et assistante à la coordination du Programme de recherche sur l’archéologie et la généalogie du montage/editing (PRAGM/e). Elle a obtenu un Master en cinéma documentaire avec mention honorable à l’Université Nationale Autonome du Mexique (UNAM), qui lui a décerné la Médaille Alfonso Caso en 2018. Dans le cadre de son Master, Katia a effectué un séjour de recherche à la faculté d’ingénierie de l’Universidad del Desarrollo, à Santiago, Chili. Elle a obtenu une licence en sociologie de l’Université autonome d’État du Mexique (UAEMex) et a réalisé un échange académique avec l’Université Lyon Lumière 2, France. Elle a dirigé la recherche « L’état des publics du circuit culturel de Mexico » à la demande de ProcineDF. Katia a enseigné la production et l’histoire du cinéma documentaire et collaboré avec plusieurs institutions telles que la Cineteca Nacional, l’UNAM et l’Universidad Iberoamericana. En 2014, elle a travaillé comme coordonnatrice pour FilminLatino, plateforme de VOD d’IMCINE. Membre de l’équipe de coordination pour la conférence Latin Side of the Doc 2013, elle a contribué au développement de la communauté Ouishare en plus d’animer des ateliers pour la Banque interaméricaine de développement (BID).
Diplômée en 2017 du baccalauréat en Lettres et sciences humaines, en 2018 du diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en Édition numérique, Mathilde est actuellement étudiante à la maîtrise en Littérature Comparée, sous la tutelle de Terry Cochran. Ayant effectué tout son cursus universitaire à l’Université de Montréal, elle a pu travailler dans plusieurs centres de recherche, dont la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques, et depuis mai 2019, au laboratoire CinéMédias dans le cadre du partenariat TECHNÈS.
Nyassa Munyonge termine son baccalauréat en écriture de scénario et création littéraire à l’Université de Montréal en 2020. Elle commence la même année une maitrise en études cinématographiques sur la narrativité du son hors-champ sous la direction d’André Gaudreault. Ses champs d’intérêts se concentrent principalement sur la pratique du cinéma : la scénarisation, la conceptualisation et la réalisation.
Après avoir complété un baccalauréat en Histoire, une majeure en études cinématographiques et une mineure en sciences de la communication, Marwan entame en 2020 sa maîtrise avec André Gaudreault sur les plateformes de diffusion en continu et leurs impacts sur les salles de cinéma. Ses champs d’intérêts se concentrent sur l’histoire du cinéma, le développement des technologies et le numérique au cinéma.
À mi-chemin entre le Canada et la France, Alice étudie l’histoire de l’art et l’archéologie à Paris dans l’Université Panthéon-Sorbonne avant de revenir à Montréal pour entamer un baccalauréat en cinéma à l’Université de Montréal. Elle intègre le laboratoire CinéMédias en 2019 en tant qu’auxiliaire de recherche.