La machine Bolex : les horizons amateurs du cinéma

Sous la direction de Nicolas Dulac, Vincent Sorrel, Stéphane Tralongo et Benoît Turquety

Les machines pro­duites sous le sigle Bolex par l’entreprise suisse Paillard ont leur his­toire propre, qui les place dans un héri­tage local riche et com­plexe : celui de la méca­nique de pré­ci­sion, de l’industrie hor­lo­gère et musi­cale. Une camé­ra en par­ti­cu­lier fut l’emblème de la marque et est, encore aujourd’hui, l’un des appa­reils les plus célèbres de l’histoire du ciné­ma : la Bolex H16, des­ti­née à l’amateur exi­geant. Il s’agira ici d’interroger la camé­ra selon trois axes prin­ci­paux : sa méca­nique interne, repla­cée dans le contexte indus­triel de sa concep­tion et de sa fabri­ca­tion ; la ges­tuelle par­ti­cu­lière que la forme de la machine engage chez la per­sonne qui l’opère ; et enfin, la façon dont ces élé­ments se réper­cutent sur la diver­si­té des usages sociaux.

Table des matières

Benoît Tur­que­ty

Nico­las Dulac, Sté­phane Tralongo

Nico­las Dulac

Benoît Tur­que­ty

Nico­las Dulac, Vincent Sor­rel, Sté­phane Tralongo

Nico­las Dulac, Vincent Sorrel